Une simultanée difficile

Quentin dans la tourmente dans cette simultanée jeunes contre 14 adversaires ce jeudi 28 mai à 18h.
Il paye un peu une attitude courageuse qui a consisté à accepter d’avoir les mêmes conditions de temps que les prédécesseurs et, de surcroît, à laisser le système donner les couleurs.

La simultanée : deux périodes qui ne s’équivalent pas en terme de stratégie pour celui qui la fait. Il y a la 1ère fois .. et les autres fois.

La 1ère fois, la plus belle, le cerveau est mis à rude épreuve car on a beau jouer sur un échiquier à la fois, on sait les autres qui, en vous attendant, mettent en place des traquenards. On ne sait pas que les traquenards, pour les autres, c’est vous qui les tendez. C’est vous le malin. Bref, la qualité de la concentration, le non oubli des ses propres consignes, savoir qu’il ne faut pas se laisser emporter par l’intérêt d’une position, ne pas reperdre du temps au même endroit au tour suivant, tout cela se conceptualise, se modélise. Bref, la 1ère fois c’est la bagarre : on donne des coups, on en reçoit, ça part dans tous les sens. On tient tête bravement mais on perd du temps. A partir de la deuxième, c’est toujours une bagarre mais .. habitée. On va moins jouer aux échecs, mais plus utiliser les échecs. Exemple * : une nulle c’est diminuer le nb d’échiquiers. Un échange, c’est diminuer le nb de pièces. Objectif : la nulle. Logique avec la finale? On s’empfout.

Du temps il en a manqué à Quentin et sur tous les échiquiers et malheureusement l’éclaircie en terme de nombre d’échiquiers ne s’est pas produite. Le temps à continuer à filer trop vite sans possibilité de souffler.

La simultanée

* Oui, s’il vous plaît. Le S

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