Un week-end très important pour le haut du groupe.
La tête d’un groupe c’est comme la politique : on ne veut pas laisser sa place. Une place qu’on estime, avec le temps, de plus en plus normale, une place dont on ne sait plus trop comment on l’a eue. Le sentiment d’appartenance est très fort. « D’appropriation », soyons précis, dit le médecin qui reçoit l’équipe. « C’est l’usurpation qui s’est transformé progressivement » fait-il savoir. « Le processus est simple, limite simplissime : la timidité s’estompe et le muscle apparaît ». « C’est une image, bien sur » rassure-t-il, pour les visages qui, derrière les lunettes de soleil, se sont figés.
Derrière Le Vésinet, dans le groupe, on aimerait bien devenir Calife à la place du Calife.
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