Échiquier du Vésinet

Geneviève Thélot qui publie une oeuvre personnelle !

« Vernissages » – Editions Complicités – Collection « Les Minuscules Littéraires« nouvelles

Voici un éventail de nouvelles qui ont en commun d’avoir été inspirées par un tableau connu ou par une oeuvre d’artiste, tout autant connue. Geneviève Thélot, l’auteur, excelle dans l’art du bref. Elle nous donne à lire des petits instants ciselés avec le talent de l’orfèvre. Humour, rires, désirs, c’est tout un univers qui prend forme sous les yeux du lecteur qui n’éprouve aucune difficulté à se repérer, comme s’il était là en territoire familier. Il saura se laisser ravir par le sourire et l’émotion.

www.editions-complicites.com

Après Franconville, c’est le tournoi d’Herblay qui, à la Pentecôte, est une étape obligée des joueurs de semi-rapides de notre région.

Ce dimanche matin, je me méfie pour le trajet car le souvenir des errements de franconville est vivace. Il y avait eu des pertes d’itinéraires suivies de paniques enfantines. Tout cela fait désormais partie du passé. Le jeu d’échecs, c’est structurant. Cela veut dire aussi qu’on progresse sans cesse dans la vie grâce à ce jeu extraordinaire. C’est dans cet état d’esprit positif que la portière claque et que la voiture s’ébranle. En route pour Herblay!

J’ai prévu de la marge au cas où. Deux heures de marge. Ca devrait suffire pour 15 km. Rapidement, sous l’œil extrêmement vigilant du conducteur, les routes des Yvelines défilent sous la voiture. France-info se taît, on y a veillé. Alors Sartrouville est atteint sans problèmes, et quand un panneau annonçant Cormeilles est franchi, le cœur bat un peu. On le calme d’un coup de chimie organique histoire de bien montrer qui est le maître. Très étonnant le corps humain. Toutes ces glandes prêtes à être sollicitées.

J’avance. Ils ont fait un grand-rond point par ici, ils ont les moyens, il est magnifique. Au sommet d’une grande avenue trône un château, au delà d’un pont. J’ai entendu dire qu’un japonais avait fait une exacte version du château de Maisons-Lafitte dans son jardin. En haut de cette grande allée macadamisée , il y en a un aussi. Un riche habitant de Cormeilles a eu la même idée.

Et puis j’ai un doute. Un coup de grizou me traverse. C’est le pont de la 2ème DB et puis cette pente douce qui mène au château c’est la nationale qui va de Paris à Maisons-lafitte. J’ai fait demi-tour sans m’en apercevoir. Avec ces histoires de cœur, je me suis déconcentré. Je m’énerve. Je me calme d’un coup de chimie bien placé. Je décide de ne pas demander mon chemin à cause de mon immatriculation 78. J’ai pris une boussole dont l’aiguille reste immobile malgré mes tours complets du rond-point. Je prends à droite. Le château disparaît. La Seine doit être à gauche, c’est mathématique. Il suffit de la retrouver, c’est pas sorcier. Mais elle se cache. Je suis déboussolé. Je vais dans un café PMU où personne ne me connaît. Mais en y entrant, je le reconnais de l’année dernière. Sans ralentir pour ne pas éveiller les soupçons, je continue. Je dois être un peu rouge car un marchand de poisson m’observe. Pour conserver le peu de naturel qui me reste je stoppe devant son étal et fais semblant de choisir, moi qui ai horreur du poisson. Je prends un « capitaine » du nom de l’organisateur du tournoi, Gérard Lecapitaine. Je remonte dans ma voiture avec mon poisson. Je n’ai plus de quoi payer mon inscription. Je roule. Il faut faire quelque chose.

Je redoute de voir apparaître la silhouette du château. Je cherche de la pente qui pourrait indiquer le sens où aller. Quelle odeur épouvantable! Je vais être malade. Dès que j’atteins la Seine, je rejèterai ce poisson à l’eau. C’est drôle la mémoire car tout à coup je me rappelle qu’il ne faut pas essayer de rejoindre la Seine dans un premier temps, mais au contraire remonter vers les hauts de Cormeilles pour ensuite repiquer vers l’eau. Encore Cormeilles Je devrais déjà être aux alentours de l’usine marée-motrice de la Frette et je suis encore là! Mon cœur en remet un petit coup mais je me calme tout en restant concentré, ce qui prend un peu de temps.

Oui! le carrefour! et là seulement redescendre. Ca y est la route aux nids de poule prend ici. Maintenant c’est tout droit le long de la Seine. Et voilà, le tour est joué. Il faut déjouer les derniers pièges en résistant à la tentation de se hisser trop vite sur la falaise où niche Herblay. Il faut tourner seulement lorsqu’on voit le 2ème panneau « gare d’Herblay », le 1er étant un piège. Le gymnase est en face de la gare. Magique, ça y est.

Mais horreur…Le gymnase est vide, abandonné. Ce n’est pas là qu’on joue.! Je nous fais grâce du reste.

Sachons simplement que je suis arrivé à temps pour la 1ère ronde grâce à la gentillesse des organisateurs qui savaient que le vainqueur de l’édition précédente allait venir et qui m’attendaient pour les appariements.

Pour le tournoi lui-même (!) , j’ai terminé 1er, 2eme Esnault, 3 ème Philippe, 4ème Lebrun. 50 joueurs. Arbitre (M. Colin) venu de l’herault par fidélité pour l’arbitrer!

classement en 21 points le 16 juin 2007 de 18 à 24 h

1 GLOD Philippe 20,5 > 1 coupe
2 MAZHARY Mohammad 19 > 1 coupe
3 SAGLIER Paul (minimes !!) 18,5 > 1 coupe
4 BOUSSAHA Bilal (cadet !!) 16,5 > 1 coupe
5 IMBERT Christophe 15
6 BRUNEL Eric 13,5
7 IMBERT Etienne 11,5
8 FRIER Damiens 11,5
9 CINQUANTA Jean Marc 10,5
10 Mme Mazhary +Paravagna+Delalande 10
11 BARTEAU Victor 9
12 BIVAS Pierre 9
13 LOUBIERES François 9
14 ROBERT Gérard 9
15 GANDOLFO Georges 8
16 DAVID Jean luc 7,5
17 FERRIERES Patrick 7,5
18 DELUIZE Anthony 7,5
19 BARRE François 6
20 RIQUELME Eduardo 4
21 JOFFRIN Xavier 3
22 KRASNOVSKY Gallina 1

Cette dernière manifestation organisée par notre club lors de la saison 2006/2007 a tenu toutes ses promesses.

22 infatigables blitzeurs ont su conserver pendant 6 heures une grande sportivité malgré la tension permanente engendrée par un rythme dément. Preuve qu’un enjeu sportif n’est pas incompatible avec une réelle convivialité !
Notre « arbitre joueur pivot » Christophe Imbert m’a véritablement impressionné pour avoir noté sans aucune anomalie des centaines de résultats, remis les joueurs égarés à la bonne place et recadrer gentiment les quelques excités (passagers). Chapeau !
Un nouveau « promu » a su (lui aussi) tenir son rang : Gilles Saglier fût « royal au bar » (terminologie brevetée Christophe Imbert ) et (talent caché) bien à la hauteur dans le discours de remise des prix !!
 

Jean Pierre aurait apprécié ces personnalités qui ont créé un « climat » favorable à la convivialité.
RDV l’an prochain avec plus d’heures de jeu ? Plus de prix ? Mais surtout autant de décontraction !!

Si votre Président est un peu « usé » en cette fin de saison après avoir participé à l’organisation de 3 tournois rapides, 5 réunions de Comité Directeur de club, 3 réunions au niveau départemental, un RDV improvisé avec le numéro 1 de la FFE JC Moingt, de nombreuses rencontres avec les responsables du CIAV (Mesdames Tritant et Gautier sont vraiment dévouées à notre cause ) et bien sur des déplacements dans le « grand ouest » de la France pour faire «du moins mal possible» dans notre équipe de nationale 2, les deux mois de « break » permettront de reprendre l’énergie nécessaire pour vivre pleinement la saison qui s’annonce.
 

En vous souhaitant de bonnes vacances !!

PS : Pour les fous furieux insatiables (un peu comme moi) il faudra penser à faire le siège de la « remplaçante » de notre « mamie » dès le 14 juillet (les initiés comprendront)

Chaque membre du club a une boîte à souvenir bien pleine en ce qui concerne le jeu.
Philippe nous parle régulièrement de ses débuts en Bourgogne. Un autre pourrait causer des épopées à 5 deudeuche tanguant vers un lointain semi-rapide, un autre encore des parties à l’aveugle en corail. Des p’tits gars de Bordeaux partis jouer à l’autre bout de la France en mobylette avec des gambits plein la tête pourraient nous en remontrer sur la manière de faire durer les paquets de biscuits.

Beaucoup de ces histoires se perdront avant même d’avoir été racontées une seule fois. C’est triste.

Une alerte Google, dont le principe est de recevoir sur sa messagerie des pages Web où apparaissent des mots clés choisis, m’a permis de trouver un site où l’on parle beaucoup et de façon alternative des échecs: https://www.echecs64.com/.  Il s’agit du blog de de Christophe Bouton,  journaliste, qui officia longtemps au profit de la chronique échecs de Libération et dans EE.

Quelque part dans sa page les_miscellanees, il évoque ses débuts en S&M et touche deux mots des Imbert et de Provins. C’est sympa. Il est d’ailleurs comme ça Christophe Bouton : fidèle, ne lâchant pas le morceau, mais aussi curieux, collectionneur de moments .. bref intéressant. Et aux échecs, il se bat!

Son blog vaut le détour, vraiment.

… l’un de nos Vésigondins présents au tournoi de Franconville (Christophe IMBERT) nous relate les péripéties pour y parvenir ! Je vous laisse lire la suite même si cela est peu en rapport avec le tournoi en lui-même. Pour ceux qui n’apprécient pas les anecdotes, ils peuvent passer leur tour ou se rendre directement sur le site de Franconville pour y visualiser la grille américaine en cliquant sur le titre !!! Pour les autres, appréciez ! Et pour le plaisir d’y voir quelques-uns de chez nous, cliquez ici > http://www.franconville-echecs.com/photos/index.php?rep=20070520festival

Le tournoi de Franconville est sympa, on est des habitués par chez nous. Du Vésinet ou de St Germain c’est simple pour y aller. On prend sa voiture, on part en direction de Cormeilles-en-Parisis et on se paume. C’est pire que d’aller à Herblay, même si c’est un peu la même direction.

Ca commence bien, pourtant. Hop on passe par … tiens! Maisons-Lafitte? Là déjà il y a une petite erreur à cause de France Info. C’est pas grave, on retrouve Sartrouville et après on va doucement car on sait bien que les choses se gâtent dans le coin. Et ça y est : je suis sur une autoroute. Pourquoi suis-je sur une autoroute, je devrais être dans la cambrousse! Où suis-je? Bien !

j’ai 80 pts élos de plus que l’année dernière donc je ne panique pas, comme dans le gambit Ecossais. Aussi dit, aussitôt fait! Mais bon, attention au temps quand même. Bon Dieu, plus que 20 mn et je ne suis pas inscrit. Alors là, s’agit plus de rigoler. On doit passer une montagne, je me souviens. Il faut viser une montagne. Je me vois la franchir (avec mes 80 points de moins, j’étais quand même dégourdi de l’avoir trouvée!). Ca me revient,  une espèce de col par une route « coupe-jarrets ». C’est pas l’Hautil, mais peut-être bien les contreforts de l’Hautil. Et pourtant je ne me rappelle plus qu’on passait par Chanteloup-les-Vignes. Car l’Hautil c’est Chanteloup! Il faut le savoir. Je le sais depuis peu.

Oh mon Dieu, mais ça m’embrouille. Au lieu de s’améliorer, c’est pire chaque année alors! Dans Cormeilles, j’ai pris trop au Nord. Il n’y a que des tours à l’horizon ou alors bon sang, on aurait tout rasé la montagne? Il est grand temps, en effet, qu’on nomme un ministre de l’environnement. Vous êtes surpris par votre humour alors que l’heure est grave.

Dans la salle du tournoi, il y a plein de gens qui ont payé et on attend la première ronde. Et puis ça y est : le passage à niveau, mais oui, c’est vrai, je l’avais oublié, ça va être à droite. Oui, une route prend là qui a des allures familières. La montagne est là! Elle se profile, elle a surgi de n’importe où, sombre et froide. Elle est sympathique. Franconville est dans la vallée derrière avec la civilisation autour.

C’est une affaire de 5 minutes maintenant. Ca monte dru, c’est évidemment là. Je reconnais tout, chaque bosquet, chaque épingle à cheveux. Je serai à l’heure, comme tous les ans d’ailleurs. Je me souviens du plan Mappy : c’est à gauche de l’autre côté et puis à droite la mairie. Merci fidèle Mappy, merci mes 80 points, j’arrive!! Ah ah ah.

La descente d’enfer et voilà le travail. Mais… route barrééééééeeee! Quoi! Des flics en plus. Qu’est ce que c’est? Un vide grenier bloque le passage! Franconville est bloqué! Il pleut à verse. Plein de voitures cherchent des places, des gogos qui vont acheter des babioles à 1 euro sous la pluie. Je suis arrêté. Je me calme. Caaalmons-nous. Un revolver pourrait luire doucement dans la boîte à gants. Il faudrait que j’évite d’y penser si c’était le cas.

La montagne à ma gauche me nargue, je la vois du coin de l’œil. Saleté! Je relève ce défi et tend lentement la main vers la boîte à gant en prenant mon air Tom Lepski aboyant des ordres. Puis mes cheveux se hérissent sur mon crâne. De l’autre œil, en coin, j’ai vu qu’un policier m’observait. Il fait signe à un autre policier. Le temps s’est arrêté. Maintenant ils s’avancent tous deux vers moi. Ma vie se met à défiler au ralenti. Je suis figé bras en l’air. Ils arrivent. Il faut absolument que j’arrive à effacer de ma figure cette grimace ridicule.

Chers amis,

Le Vésinet est qualifié pour la troisième fois en quatre saisons pour la finale de la Coupe Victor Syre suite au forfait de deux équipes dans notre groupe de demie-finale. On peut se féliciter de ce résultat, mais on regrettera de ne pas s’être qualifiés sur l’échiquier. Cette vague de forfait est dommageable et j’espère juste que ce n’est pas parce que certaines équipes n’en ont rien à Syrer (pardon pour le jeu de mots). Par expérience, je sais qu’il est très difficile d’organiser des compétitions par équipes en cette fin de saison du fait du beau temps, des vacances, de la fatigue de certains… Il y a donc des circonstances atténuantes.

On jouera donc la finale les 16 et 17 Juin prochains (malheureusement cela tombe le week-end de notre tournoi rapide) et je commence à composer mon équipe. Cette finale devrait opposer 6 équipes en 5 rondes de 1H KO. Etant en Norvège pour mes premiers congés, je ne pourrai pas la disputer. Les joueurs contactés pour la demie-fianle seront donc à nouveau sondés pour leurs disponibilités.

Le capitaine que je suis n’espère qu’une seule chose: gagner une place par rapport au deux dernières finales où le club avait terminé second à chaque fois. Un bon parcours dans cette compétition est signe du dynamisme de ses membres, sachant que la vie d’un club d’échecs se fait surtout autour de ses joueurs amateurs mais motivés. Ceci renforce donc la place du Vésinet au niveau régional.

Merci d’avance – Patrice NEYRET

Merci mille fois pour vos messages de sympathie,                     

votre présence auprès de Jean-Pierre et votre grande

 amitié, avant, pendant et  après.
Merci aussi pour vos témoignages et anecdotes touchants, ainsi que vos commentaires chaleureux sur le blog du club d’échecs

Merci aussi à ses collègues venus nombreux le saluer.

Pour ceux qui, un jour, voudraient passer au cimetière du Père-Lachaise :
Jean-Pierre : Colombarium – 2e sous-sol, 2e rangée à gauche, au fond : case 23092

Je suis à votre disposition pour tout échange de photos, ou autres souvenirs concernant Jean-Pierre, qui nous manque énormément.

Soyez gentils de transmettre ce message autour de vous.
Amicalement,

Danièle LAMARI-FAUVEL & toute sa Famille
06 70 66 04 51
01 43 49 14 39
ahcene.lamari@wanadoo.fr

On peut parfois etre tres fiere d’une perf, d’un classement c’est vrai : Il y a dans ce club des gens qui font d’authentiques performances.

Pour ce qui me concerne, c’est un concours de circonstances qui me classe de manière extravaguante a 1860 elo.

Je suppute que les premieres parties officielles ne comptent pas dans le classement elo. Il en resulte que mon classement est calculé sur les toutes dernieres parties (3 peut etre). Et les choses font que j’y ai battu un 1600 (MLF) perdu un 1780(SQY) et gagne un 1898 (MLF largement surclasse).

Les parties du tournois interne n’ayant pas été encore communiquees, mes moultes defaites et nuls ne sont pas encore comptabilisées.

Bref, pas de grosse tete, ca ne représente pas ma vraie valeur, et donc desolé …. Pas de coup à boire pour les copains ! > enfin… si, peut etre :O)

Xavier – à 1000 points de Kramnik !!!

Le Comité directeur a décidé à l’unanimité de rebaptiser le tournoi des générations « Mémorial Jean-Pierre Fauvel« .

En effet, la convivialité de ce tournoi réunissant des jeunes et des vétérans correspond parfaitement à l’état d’esprit manifesté par notre ami.

Jean-Pierre FAUVEL qui nous quitte aussi prématurément qu’un autre JP qu’on n’a pas oublié.

Pour ma part c’est le 3ème Personnage haut en couleur qui nous quitte en 5 années passées au club abstraction faite de 3 années sous d’autres cieux !!! Quoi qu’il en soit, c’est toujours la peine qui prévaut… C’était devenu inéluctable mais l’espoir, toujours l’espoir…

C’est donc avec tristesse qu’un ami me prévint ce jeudi midi de cette terrible nouvelle et l’émotion qui était sienne était loin d’être feinte, bien au contraire. C’était difficile de l’écouter parler avec une telle amitié envers Jean-Pierre, mais l’appel du coeur était le plus fort. Il me disait que l’une des qualités était que ce dernier écoutait toujours son interlocuteur, quelque circonstance qui soit, quelque divergence qui soit, car chacun mérite de pouvoir s’exprimer. Il savait écouter adéquatement et on avait plaisir à échanger ensemble : j’ai pu le constater et je ne puis qu’acquiéser !!!

Cher Jean-Pierre, là où tu te trouves, c’est forcément plus doux, et je te souhaite enfin une pleinitude pour l’éternité !

Amis Vésigondins : vous souhaitez laisser des messages de soutien, un souvenir émouvant… tout dans le respect, alors les commentaires sont pour vous. Envoyer-moi un mail avec votre hommage à ejego@tele2.fr et je l’y mettrais aussi vite que possible. Alors laissez votre plume aller au gré de votre inspiration et les proches en seront forcément sensibles ! Merci pour eux et pour Jean-Pierre que vous n’oublierez pas !

Il vous suffira de cliquer sur « précision » ou sur « 09:08 » pour y lire les hommages !!! Durant toute la semaine, ce post restera aux 1ères places de notre blog pour le souvenir et pour permettre aux uns et aux autres de penser à s’exprimer s’ils le souhaitent. Mais n’oubliez pas de vérifier ci-dessous les news qui continuent malgré tout !