L’ours ouvre un oeil. Il sort de son hibernation. Nulle créature n’a été assez folle pour le déranger depuis qu’il s’est lové au fond de sa grotte, au début de l’hiver. Les battements de son coeur s’accélèrent. Il s’ébroue. Il aimerait tambouriner sur sa poitrine mais il est ankylosé, faible. Il n’a pas envie. D’ailleurs il ne voit plus son ventre qui a fondu durant le grand sommeil. Il se penche pour mieux le voir. Il tombe. Un moment se passe. Allongé d’où il est, il perçoit l’air tiède du dehors et le goût de miel des rayons de soleil. Déjà il a faim.
Comme lui, le club ouvre un oeil.
Vous pensiez somnoler tranquillement pendant vos congés … voila ce que nous propose « el professor » et qui va faire travailler vos neurones de joueur émérite.
Des trois finales ci-dessous:
-Dame contre deux fous
-Dame contre deux cavaliers
-Dame contre fou+cavalier
Cas rares … mais bon
Laquelle présente le maximum de chance de se terminer par le partage du point pour la plus grande joie du camp le plus faible ?
Pour info le GMI Nunn, actuel champion du monde des solutionnistes, a travaillé sur ces « cas »
Bon courage
Bonjour
Déjà, en finale de dames contre un pion, ce dernier sur le point d’aller à dame, le camp le plus faible doit éloigner son ours aussi loin que possible.
Ca s’est vu dans le match de N2 Rueil – Le Vésinet dans la partie Lucas-Large.
Ceci pour contribuer un peu hors sujet au sujet.
Rtovitch