Maison du combattant – 20h15 – Buffet collégial – 10 Euros
l’affiche
La formule est simple : se faire plaisir, un mercredi soir, au milieu du mois de mai
La soirée concoctée par Christophe Guéneau, un orfèvre, permet d’avancer une explication sur le plaisir aux échecs : mettre son esprit en branle et chercher à partir d’une position. Et avec les mille morceaux faire un coup.
Dans cette soirée là on va nous présenter une sélection de positions dont les clefs sont, à n’en pas douter, des défis pour l’esprit. Nous ne serons pas trop pour chercher et faire jaillir les solutions de ces compositions qui peuvent être de véritables huîtres. Mais le cerveau humain en batterie peut faire des merveilles. Le défi ce soir là c’est de tout trouver!
On va se dire : c’est facile de se faire plaisir aux échecs! Car à quel moment les échecs ne donnent-ils pas de plaisir?
La question est posée officiellement.
Certains doigts se lèvent :
Q : « On n’est pas content quand on joue un mauvais coup! »
R : « Bien vu. Nous notons la proposition. Si la semaine prochaine, vous êtes prêt à la reposer, nous y répondrons ».
Y a-t-il quelqu’un d’autre? «
Q : « Quand son adversaire n’est pas là. »
R : « … Quelque chose me dit que c’est un peu de la triche comme proposition. Une autre ? »
Q : « Quand on revient à la maison. »