L’esprit humain aime compliquer : une étincelle sur un bout de bois est devenu le moteur à explosion et le cri de la bête poursuivie par le feu sur la même branche est devenu Internet.
Le temps maximum pour une partie été inventé il y a peu, finalement. Depuis, nous ne cessons de perfectionner le chronométrage : Fischer a bien avancé dans ce domaine. Ce tournoi à handicap s’attaque aussi aux résultats des parties.
Ceux qui ont à perdre sont les plus forts : ils ont moins de temps et ne bénéficient d’aucun avantage, quasiment.
Sur le principe, les couches de bonus/malus se superposent jusqu’à rendre impossible une reconstitution du résultat final. Cela donne un tournoi où on se bat et où on râle. On aimerait avoir les blancs pour compenser les handicap de temps? Pas bête! Mais commele règlement a été perdu et que c’est un système informatique qui calcule tout, on ne peut plus rien toucher.
Le résultat se regarde avec des lunettes 3D :